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 Han Do Il ¤ No religion, no country - nothing to live or die for

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MessageSujet: Han Do Il ¤ No religion, no country - nothing to live or die for   Han Do Il ¤ No religion, no country - nothing to live or die for Icon_minitimeDim 16 Sep - 23:15

Annyeong! Mon petit prénom c'est Do Il. Je suis originaire de Busan. D'ailleurs, j'y suis né le 01.06... ; ce qui fait qu'aujourd'hui, j'ai 24 ans ans. Si vous saviez à quel point j'aime les poupées blondes et siliconées. Ça vous intéresse de savoir que je suis génial ? En tout cas, je suis actuellement journaliste et je compte bien devenir un grand philanthrope qui sauvera les enfants du Tiers monde de la famine et des épidémies... Nan, je déconne ; les rêves, c'est pour les filles et autres créatures écervelées. Je suis commoners.
han do il

featuring kim soo hyun.
crédit to tumblr.




who i am ?
« Le prévenu est un jeune homme d’une vingtaine d’années, de taille moyenne et d’origine asiatique. Son apparence présente peu de signes distinctifs qui lui seraient particuliers : cheveux bruns et courts, yeux foncés, teint légèrement halé… Sur les photographies prises au commissariat, peu après son arrestation, on peut relever le fait que sa lèvre se trouve fendue et son œil gauche tuméfié. Ces blessures résultent vraisemblablement de la relative violence à laquelle les forces de police ont dû avoir recours afin de l’interpeller. Le suspect a en effet longuement refusé d’obtempérer, allant jusqu’à insulter les agents chargés de contrôler son identité. Dans leur rapport, les officiers qui ont procédé à son interrogatoire notent que du début à la fin de sa détention, l’accusé ne s’est jamais assagi. Il a toujours fait preuve d’une extrême arrogance et d’un manque accablant de savoir-vivre. Le plus souvent affalé sur sa chaise, les pieds posés sur la table, il a répondu à toutes les questions qui lui étaient posées sur un ton désinvolte, voire même insolent. L’exemple le plus criant de son comportement cavalier est la réaction totalement déplacée qu’il a eue lorsqu’un lieutenant, de sexe féminin, l’a fouillé au corps. Les propos graveleux et effrontés qu’il a tenus à ce moment-là ne seront pas retranscrits ici, mais nous soulignerons malgré tout l’incroyable sexisme qui les caractérisait. Les juges ont pu d’ailleurs avoir un aperçu de la misogynie du personnage quand celui-ci est entré dans la salle d’audience et s’est cru autorisé à faire un commentaire au sujet du décolleté de la greffière.

La grossièreté et le prosaïsme de toutes les réponses que M. Han a par la suite données aux avocats qui le questionnaient n’ont quant à eux pas seulement la goujaterie que toutes les personnes étant intervenues dans le dossier n’ont eu cesse de dénoncer ; ils ont aussi révélé le profond cynisme du regard que l’accusé porte sur le monde. Aucun individu, aucune institution, aucun principe ne semble apte à le forcer au respect. C’est sans doute pourquoi, dans son travail, rien ne peut l’arrêter, ni le faire hésiter. Sans la moindre honte, le prévenu nous a avoué être prêt à camper plus des semaines durant devant la porte d’une célébrité, dans le seul but de glaner quelques informations au sujet de sa vie privée et pouvoir les publier dans le magazine à sensation qui l’a engagé. Lorsque l’on a évoqué devant lui les notions de « dignité de la personne » et de « droit à l’intimité », l’accusé s’est contenté de pouffer. Il a ensuite argué qu’il faisait ce qu’il pouvait pour gagner de quoi manger. Quand on connaît le montant de la fortune que lui a légué son défunt père, cette remarque s’avère n’être qu’un sarcasme de plus.

Ici, nous devons cependant nuancer notre propos. Si l’on en croit certains témoins appelés à la barre, l’inculpé n’a pas toujours prôné une éthique professionnelle aussi désabusée. Certains de ses camarades de l’école de journalisme se souviennent même de lui comme d’un idéaliste, désireux de prendre sa plume pour changer le monde et le système. Ses mots tranchants devaient être la lame avec laquelle il pourfendrait les codes établis. S’attaquer aux grands et aux puissants, devenir la voix des plus petits… tels étaient apparemment ses rêves de jeune homme à la tête certes forte, mais au cœur bein placé. Mais bien entendu quand on a voulu en savoir davantage sur les raisons de ce changement radical d’attitude, M. Han s’est contenté de faire ce qu’il fait le mieux : il nous a ri au nez. »


moi si j'étais roi...
« Je ne suis qu’un vendu, un profiteur, un arriviste. Sans foi ni loi, je me jette dans les bras du plus offrant. Si j’étais une femme, je serais sans doute déjà en train de me prostituer. Par chance, mes chromosomes XY me prémunissent contre la bêtise, caractéristique typiquement féminine, et me permettent donc de vivre sans avoir mes jambes constamment écartées. Mes maquereaux à moi ne me veulent pas dans leurs draps ; ils ne flirtent qu’avec la gloire et la renommée. Leurs doigts caressent des rêves de célébrité, et s’ils y mettent le prix, je peux rapidement leur faire atteindre de tels sommets. En quelques articles, je leur bâtis une réputation et les porte aux nues. Deux, trois titres racoleurs, et pour eux, c’est déjà le nirvana. Il ne leur reste alors plus qu’à jouir de leur prestige et à se vautrer dans les plaisirs que celui-ci leur promet. Qu’ils en profitent tant qu’ils le peuvent, car rien ne garantit que tout cela va durer. Il suffit que l’un de leurs ennemis me fasse une proposition plus intéressante, et ça y est, je le démolis. Peu importe de qui il s’agit. A mes yeux, une starlette ne vaut ni moins, ni plus que le roi de ce pays. Je les vomis tous autant qu’ils sont. Je ne respecte rien, ni quiconque. Même ma propre personne me semble méprisable et dérisoire. Lorsque feu mon père a passé l’arme à gauche, j’ai accepté presque intégralement le pactole qu’il me laissait : les comptes en banque bien garnis, les villas sur la Côte d’Azur, les voitures hors de prix… J’ai tout pris. Mais les titres de noblesse, je me suis empressé de les refuser. Si j’étais devenu le comte qu’il était de son vivant, cela aurait signifié que je valais quelque chose dans cette société pourrie, que celle-ci m’acceptait et me reconnaissait, que je lui appartenais. Et ça… non merci. J’ai beau n’avoir ni loyauté, ni fierté ; je tiens tout de même à ma liberté. » WHO CARES.

tell me your story.
    8 Mars 2012. La plaignante Jung Soo Hee, 21 ans, actrice reproche au suspect Han Do Il, 24 ans, journaliste de s’être introduit illégalement sur sa propriété et de l’avoir photographiée sans qu’elle l’y ait jamais autorisé. L’accusé aurait ensuite diffusé ces clichés volés dans la presse, causant ainsi à la victime alléguée d’irréparables préjudices moraux et un indicible traumatisme. La procédure de divorce qu’a entamé son mari peu après l’avoir vue à la une de tous les journaux au bras d’un autre homme l’aurait tout particulièrement affectée. Une brève enquête a vite prouvé que ces faits d’harcèlement et de violation de la vie privée étaient entièrement avérés. De l’agent de la jeune femme à ses voisins, toutes les personnes interrogées ont corroboré ces dires et ont accablé l’inculpé, évoquant de nombreuses autres circonstances aggravantes. M. Han se serait en effet aussi rendu coupable de nuisances et d’incivilités, refusant par exemple de déplacer son véhicule qui obstruait depuis plus de deux semaines l’entrée du garage de l’un des riverains, se débarrassant de ses déchets et de ses bols de ramyuns usagés sur la voie publique et se montrant surtout, particulièrement désagréable avec quiconque avait le malheur de lui faire une remarque. Appelé à la barre, M. Han n’a pas démenti les reproches qui lui étaient adressés. De temps à autres, le jeune homme, loin de se troubler ou de s’émouvoir, acquiesçait même d’un signe de tête. Une telle stratégie de défense n’allait guère l’aider à s’attirer les sympathies des jurés. Voici d’ailleurs le plaidoyer que le prévenu a prononcé peu avant que ceux-ci rendent leur sentence.


« Je plaide coupable. A quoi bon vous contredire ? Vous m’avez déjà jugé. A vos yeux, je suis le suspect idéal. Je ne suis pas comme vous ; je vous dérange. Je mets les pieds sur la table, je mange avec les doigts, je mastique à grands bruits. En temps normal, les jolies règles et les beaux codes de conduite, vous n’appréciez pas plus que cela. Il vous arrive même de pester contre ce système qui vous entrave et vous étouffe. Mais lorsque je fais voler tout cela en éclat, vous vous récriez comme si je m’étais attaqué à la prunelle de vos yeux. Au fond, ces normes sociales vous rassurent. « Ne sors pas trop tard. Remets donc ta chemise dans ton pantalon. Marche droit et tais-toi. » Pas besoin de réfléchir ; il suffit d’être « comme il faut ». Une voix anonyme et impersonnelle, celle des manuels de savoir-vivre et des cours d’étiquette, vous dicte comment l’on doit se comporter pour ne pas choquer la foule et trouver sa place parmi ses pairs. Que personne ne sorte du rang, et tout ira pour le mieux dans le meilleur des mondes. Je dois avouer que cette mécanique bien huilée est des plus admirables. Il est dommage qu’un seul grain de sable soit capable de la dérégler et de la faire disjoncter. Pour vous, je suis cet élément perturbateur. Je refuse de me plier à vos moules futiles et à vos schémas préétablis. Je ne suis pas satisfait lorsque l’on m’indique simplement comment je dois me tenir ; je veux savoir pourquoi telle chose m’est permise ou non. Poser les questions qui fâchent ou qui importunent ne m’effraie pas ; il s’agit même de ma spécialité. A l’école primaire, mon institutrice trouvait ma curiosité et ma soif d’apprendre tout à fait charmantes. Et jusqu’à ce que je lui demande combien lui avaient coûtés ses seins refaits, c’était pour elle le signe d’une grande vivacité intellectuelle. Après, les choses se sont compliqués, et mon dossier scolaire en a longuement souffert. Cela ne m’a pas empêché de poursuivre mes études et de sortir premier de l’école de journaliste que j’avais intégrée. Ah que j’étais naïf. A cette époque, je pensais encore qu’il suffisait de savoir pour pouvoir. Je rêvais de dévoiler au monde tous les dysfonctionnements de la société et d’ainsi tout arranger. Grâce au ciel, j’ai bien vite déchanté. Dès mes premiers articles, j’ai gêné et embarrassé. On a voulu me corriger, me censurer. J’ai résisté. Cela m’a valu d’être rétrogradé à la rubrique des faits divers et des chiens écrasés. Et vous savez quoi ? C’est là que j’ai connu mes plus grands succès. Le reportage très sérieux que j’avais mené à mes débuts pour dénoncer la corruption d’un politicien haut-placé devait avoir été lu par une dizaine de personnes à tout casse. Un jour, j’ai seulement posté quelques photos d’une starlette en train de batifoler avec un inconnu dans un jacuzzi ; quelques heures plus tard, plus d’un millier de commentaires avaient été postés à ce sujet. A l’évidence, les gens s’intéressent davantage à ce qui peut les distraire et les amuser plutôt qu’à ce qui devrait les révolter. Alors pourquoi s’acharner ? Il existe des vérités que personne ne veut entendre. Il faut s’y résigner.

Je plaide coupable. Mon premier tort est sans doute celui d’être né. Je n’étais pas fait pour un monde aussi pourri. Ou est-ce le monde qui n’était pas prêt pour m’accueillir ? Peu importe. Le fait est que même à l’état embryonnaire, je faisais déjà chier. Il paraît qu’en apprenant sa grossesse, ma génitrice a songé à se flinguer. Pour elle, j’étais l’erreur d’une nuit trop arrosée, l’accident de parcours qui allait mettre un terme à sa carrière d’actrice. Ou de chanteuse. Ou de mannequin. Enfin, bref. J’ignore quelle forme glorifiée de putain elle était exactement. Dans tous les cas, elle a dû tout arrêter et se marier avec mon père qui, du haut de ses cinquante-quatre ans, était deux fois son aîné. On dit que l’amour rend aveugle – sachez que l’alcool a le même effet. Mais ne vous apitoyez pas trop sur le sort de cette pauvre infortunée. Elle en a finalement bien profité. A peine deux ans plus tard, elle foutait le camp et réclamait une pension alimentaire exorbitante, continuant ainsi à jouir largement du compte en banque bien rempli de l’homme dont elle se séparait. Et moi dans tout cela ? Elle m’abandonna sans le moindre regret. C’est pourquoi je suis tenté de dire que dans cette histoire, je suis le plus à plaindre. Cependant, si je verse dans le sentimentalisme, je vous vois déjà venir avec vos grands yeux compatissants et votre psychologie de comptoir. Vous ne dites rien, mais les mots se forment sur vos bouches arrondies en cul-de-poule : « Ah, c’est donc ça ! » Ce sale môme a eu le cœur brisé. Il a grandi dans un environnement familial instable et mal équilibré. Il a manqué de points de repères. Il aurait eu besoin d’une présence féminine et maternelle pour l’aiguiller et le guider. Si une mère suffit à vous faire rentrer dans la normalité, alors rangez vos bons sentiments et votre immonde pitié : j’ai eu ce qu’il fallait. Tout rabougri qu’il était, Papa Han n’en était pas moins un bourreau des cœurs ; même lorsqu’il eu soixante-dix ans, ses millions de wons le rendaient encore très séduisant. Les femmes défilaient à son bras. J’en ai vu de toutes les sortes : des grandes et des petites, des blondes et des brunes, des maigres et des plus corpulentes… malgré ces différences, toutes avaient au moins un point commun : l’appât du gain. Si, selon vous, cela est censé améliorer la vision que j’ai du monde, c’est vous êtes encore plus tordu que je le pensais.

Je plaide coupable. Au fond, on l’est tous un peu. »

    Comme les huit autres fois où M. Han été traduit devant la justice pour des faits similaires, il a été reconnu coupable et condamné à payer une amende salée. Malheureusement, cela ne l’a jamais dissuadé de récidiver.


Lee Jae Gil, greffier au tribunal de grande instance de la ville de Séoul.

Oy! Moi c'est Abby. J'ai 21 ans. Je vis en Bisounoursland. J'ai trouvé ce forum grâce à une personne super cool -ahaha /out/. Je suis connectée généralement 5-6/7. Mon personnage est mon troisième (sisisisi, chuis en règles /PAN/) compte et est interprété par Kim Soo Hyun. Et puis, le code du règlement, il me semble que c'est autovalidé parce qu'on est plus à un abus de pouvoir près. Sinon, j'voulais vous dire : dodoooo. <3



Dernière édition par Han Do Il le Lun 24 Sep - 0:22, édité 3 fois
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MessageSujet: Re: Han Do Il ¤ No religion, no country - nothing to live or die for   Han Do Il ¤ No religion, no country - nothing to live or die for Icon_minitimeLun 17 Sep - 4:45

ABBYYYYYYYYY

Re-Bienvenue !
Je trouve ce pv très intéressant !
Je te souhaite quand même bon courage pour ta fiche.
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MessageSujet: Re: Han Do Il ¤ No religion, no country - nothing to live or die for   Han Do Il ¤ No religion, no country - nothing to live or die for Icon_minitimeLun 17 Sep - 6:40

Même si tu me boudes... Bienvenue <3 Surtout que Soo Hyuuun ! En plus... SOO HYUN ! YAH ! /PAN/
Nya. Et j'ai pas tout tout lu, mais ta fiiifiiiiche <3
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MessageSujet: Re: Han Do Il ¤ No religion, no country - nothing to live or die for   Han Do Il ¤ No religion, no country - nothing to live or die for Icon_minitimeLun 17 Sep - 9:01

    mon adorable squaaaaaaaaaaaaaaaateur ! pali, paliiii. ♥ il y a tant de voyages et d’aventures qui nous attendent : les plaines du zimbabwe à dos dromadaires, la découvertes des collines du tombouctou à la rame sur le nil, patogés dans les flaques d'eaux à pétaouchnok et surtout, le must du must, la bolivie ! il faut bien que je rencontre tes adorateurs et voir de mes yeux vus, leur talent en architecture avec la confection de ton ô et immense temple ! (et, faut bien que je donne mes conditions pour mon mini-templounet à moi. èwé *imitelesmouettesdansnemo;àmoi!àmoi!*) *baaam* pis, min hyuk attend son acolyte avec impatience ; sùsù, c'est lui qui me l'a dit ! il a besoin d'un chef de chantier pour la re-décoration de l'appartement ... sa manque de couleurs. -o- bref, je voulais être la première mais j'ai loupé le coche ! ;o; alors, je te renvoie de supers ondes, supers soniques qui inspirent et dépotent grave, uéué ! *partsefaireinterner*
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MessageSujet: Re: Han Do Il ¤ No religion, no country - nothing to live or die for   Han Do Il ¤ No religion, no country - nothing to live or die for Icon_minitimeLun 17 Sep - 14:00

Bon après ce commentaire haut en couleur, je vais sembler totalement pas originale mais ; re-bienvenuuuuuuuuuuuuuue ♥
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MessageSujet: Re: Han Do Il ¤ No religion, no country - nothing to live or die for   Han Do Il ¤ No religion, no country - nothing to live or die for Icon_minitimeLun 17 Sep - 15:25

Je vais jouer les non-originaux aussi ~
Kim Soo Hyun ♥♥

Bienvenuuuue ♥ & Have fun parmi nous o//
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MessageSujet: Re: Han Do Il ¤ No religion, no country - nothing to live or die for   Han Do Il ¤ No religion, no country - nothing to live or die for Icon_minitimeVen 21 Sep - 18:25

Gniiiiia ((*o*)) Je te devais un accueil spécial je crois, non? Mais je suis trop fatiguée, j'ai pas d"idées hahaha... Je me rattraperais plus tard, je te kidnapperais et je t'enfermerais dans ma cave (ou mon grenier, je te laisse le choix) et on fera plein de bébés toooooute la journée - et même tooooooute la nuit - jusqu'à la fin des temps ♡♡♡
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MessageSujet: Re: Han Do Il ¤ No religion, no country - nothing to live or die for   Han Do Il ¤ No religion, no country - nothing to live or die for Icon_minitimeLun 24 Sep - 22:29

INSOONIE <3 Awui, tu le trouves intéressant ? Yaay ^.^ Tu sais que j'ai déjà une idée de lien pour nous deux ? Nyahaha. Wui, wui, je suis géniale /PAN/ Naaan, plus sérieusement, merci beaucoup <3 <3 <3

Luu', je te boude ? Que dalle ! Personne peut te bouder quand on voit le gif que t'as caché dans ta signature. Tsst, c'est pas fair-play du tout d'amadouer les gens avec la langue de Myungsoo *o*

Nyah, colocataire de mon coeur. Toi et moi, on va conquérir la planète à dos d'éléphants. Je tiendrai les rennes pour conduire la bête, tandis que tu donneras des ordres à nos escl... humbles et dévoués admirateurs. Ils scanderont nos noms et nous apporteront des couronnes de fleurs. Dis à Min Hyuk de pas bouger, j'arrive avec mes feutres et mes pastels. Ca va swinguer, owyeah <3 Et don't worry, t'es pas la première sur ma fiche, mais t'es la première dans mon coeur /MUR/ Quoi, c'était trop temps de lâcher une niaiserie ^.^ Kim Soo Hyun m'inspire pleins de niaiseries, c'pour ça. BREF ! Ca va être géniaaaal <3

Kwang Sun. Tant pis pour l'originalité, moi, je suis quand même heureuse qe tu sois venue me souhaiter la re-bienvenue. Merci beaucoup, petit bouchon <3

Na Wun. Naon. Répète après moi : KIM . SOO . HYUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUN ! Il faut y mettre plus d'hystérie quand on écrit son nom xP Wui, ma gueule. Dans tous les cas, merci beaucoup.

Hye Rah baby, je vote pour la cave. Il fait noir et froid. Ca incite à faire des bêtises et des bébés pendant l'éternité ! MWAHAHAHAHAH !

Bref, j'arrête avec mes inepties et je sors le King. Il est temps de m'auto-valider =)
/AIRBUS/
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& vous devez m’obéir.

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MessageSujet: Re: Han Do Il ¤ No religion, no country - nothing to live or die for   Han Do Il ¤ No religion, no country - nothing to live or die for Icon_minitimeLun 24 Sep - 22:33


bienvenue sur LLTK !


Maintenant que tu es validé(e), tu peux d'ores et déjà aller recenser ton avatar, ici. Si tu désires créer un scénario lié à ton personnage, tu peux te rendre dans la partie du forum " wanted " où le formulaire de création est à votre disposition, ainsi que de petites règles à respecter. A présent, tu peux aussi aller créer ta fiche de liens, ici et te faire de nouveaux amis. N'oublie pas de trouver un emploi, un logement et de créer tes outils multimédias, ici et ici. Sur ce, nous te souhaitons encore la bienvenue. Nous espérons que tu t'amuseras parmi nous. ET BON JEUUUUUUUU <3
votre staff ♥
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https://longlivetheking.1fr1.net
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MessageSujet: Re: Han Do Il ¤ No religion, no country - nothing to live or die for   Han Do Il ¤ No religion, no country - nothing to live or die for Icon_minitime

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